Notre équipe vit, respire et
rêve en mode défis.

Se surpasser, vivre des choses ensemble, s’amuser et laisser une empreinte dont on se souviendra

Parce que les convictions ont le pouvoir de bousculer les choses …Et de fédérer.
Aujourd’hui, dGPa n’est pas le fruit du hasard. C’est un rendez-vous.

1961

Gérard Portier ouvre son atelier d’architecture au 29, rue Schaub, dans le quartier de la Servette à Genève. Il pose la 1ère pierre de ce qui deviendra 40 ans plus tard l’atelier de Giuli & Portier architectes. Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour dGPa.

A la même époque, Georges de Giuli travaille en toute autonomie sur un projet baptisé « le bateau » par son fils Jean-Noël, 4 ans, convaincu de voir la forme d’un vaisseau sur les plans. En réalité, Il s’agit du projet « Aux épis d’or », futur grand magasin tant attendu par la ville de Genève et ses habitants. « Aux épis d’or » verra le jour en 1966, place de la Fusterie. Et quelques temps plus tard, George de Giuli ouvrira ses propres locaux.

Premiers pas d’architectes.

1976

Jean-Claude l’Ath’chitecte moniteur de ski. En 1977, il défiait déjà l’ordinaire en sautant des barres rocheuses dans le camp en Valais. Animé par la quête de sensations fortes et un esprit de liberté, la glisse lui a permis de se dépasser et d’aller toujours plus haut. Le monde est fait pour être challenger.

Jean-Noël, l’Art’chitecte guitariste. En 197X, il pensait déjà « équipe ». Il monte le groupe de rock CREED avec quatre potes. L’esprit rock, c’est un style, un cri, une révolte, une quête absolue, c’est une position qui interroge la société pour faire bouger les choses. Le monde est fait pour être bousculer. Alors bousculons-le.

1981

1981. Jean-Noël travaille en collaboration avec son père.

1986. Jean-Claude se décide à intégrer le bureau de son père.

1985

Georges et Gérard sont appelés pour travailler sur un projet commun : la réhabilitation de la maison Rochette. Un projet qui sera finalement exécuté par leurs jeunes fils. Les deux jeunes architectes sont d’accord sur un point : le respect du patrimoine est compatible avec la modernité architecturale. C’est alors qu’ils décident de bousculer les usages de leurs pères et défendent leurs idées devant le conseil communal pour les convaincre que leur solution audacieuse est la meilleure.

Inutile de préciser que ce fût une vraie réussite. Et le début d’une (future) longue histoire. Mais à ce moment-là, ils ne le savent pas encore.

1992

En 199 ?, les deux jeunes architectes se retrouvent par hasard dans un restaurant. Ce jour-là, la Tribune de Genève annonce que le futur stade de la ville sera construit sur le site des terrains d’entrainement du Servette FC à Balexert.

Quelle aberration !
Indignés, Jean-Claude et Jean-Noël discutent, esquissent quelques croquis sur la nappe. La conclusion : construire le stade de la ville à proximité de La Praille, futur pôle de développement de la cité selon eux.

Les journaux locaux publieront leur vision jusqu’à être entendu au sommet de l’état Genevois.

Au final, le stade de Genève sera construit à La Praille grâce à leur idée de génie.

Ce que les deux jeunes architectes avaient identifié à l’époque comme un futur pôle de développement urbain de Genève, la ville l’actera 30 ans plus tard avec le P.A.V.

2001

Création de l’atelier d’architecture de Giuli & Portier architectes. Jean-Noël et Jean-Claude travaillent officiellement ensemble.

Les 10 premières années, l’équipe sera composée de 10 personnes.

Luis donnera une impulsion fondamentale au bureau en partant pour Londres. Il créera des partenariats avec d’autres bureaux d’architectes à l’international.

2010. L’atelier romand prend une direction internationale en créant le bureau à Lisbonne. A partir de ce moment, la croissance est exponentielle. L’équipe grandit et représente 40 personnes.

Une nouvelle génération bouscule les codes et défie l’ordinaire. Nouvelles technologies, nouvelles méthodes de travail, nouvelles visions.

dGPa ne cesse de se réinventer avec ses mêmes valeurs : le Défi, l’esprit de Groupe, le Plaisir, et l’Avenir.

Nous construisons déjà l’avenir